Lorsque la police est appelée sur une scène de violence, on peut supposer qu’il y a deux personnes ou plus dans une sorte de bagarre, une impasse ou une autre situation tendue. Que l’événement soit ou non une confrontation violente ou une simple dispute verbale, le thème dominant est qu’il y a des personnes impliquées dans les fracas potentiels. C’est pourquoi il y a de fortes chances que quelques policiers du New Jersey aient été choqués en arrivant sur les lieux et aient trouvé les auteurs de l’attentat beaucoup plus nombreux que prévu.
Oui, nous avions l’intention d’écrire « poule » plutôt que « faute ». C’est parce que la police du canton de Washington a été appelée dans un McDonald’s local après que des clients aient signalé qu’une bande de poulets gloussants « faisait des ravages » dans le parking et chassait les gens.
On peut dire sans risque de se tromper qu’un Big Mac ne mérite pas d’être attaqué par des becs impitoyables, des battements d’ailes et des griffes acérées. Mais il n’en demeure pas moins que ces oiseaux en colère devaient être pris en charge par quelqu’un.
Quand les officiers sont arrivés, ils ont découvert que la petite volaille n’était pas en fait une bande de rue de plumes et de mal. Il s’agissait simplement de deux poulets qui couraient comme des fous.
Le duo « harcelait » et « poursuivait » les clients tout en picorant (probablement en endommageant) les voitures et les pneus des clients.
Comme il fallait avoir la rapidité du jeune Rocky Balboa pour attraper un, et encore moins deux poulets déchaînés, la police a appelé la police des animaux. Avec l’aide du directeur de McDonald’s, manifestement surchargé de travail, les policiers ont pu enfermer les poulets. Ils ont été emmenés au refuge Common Sense for Animals.
Dans une étrange tournure, les deux poulets ont été réclamés par leurs propriétaires plus tard. Nous avons supposé qu’ils n’étaient pas contents de pouvoir être transformés en McNuggets et nous avons fait une pause.
