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    Charm City Kings: HBO Max (Critique)

    CHARM CITY KINGS a déjà été examiné à Sundance 2020 – il est maintenant disponible sur HBO MAX

    TERRAIN: Souris (Jahi Di’Allo Winston), une adolescente de 14 ans de Baltimore, tombe avec une équipe de moto hors-piste audacieuse appelée Midnight Clique, dont il idolâtre le chef, Blax (Meek Mill). Il se retrouve bientôt déchiré entre deux figures paternelles de facto, Blax, et un gentil flic local, Rivers (William Catlett), qui veulent tous deux garder Mouse hors des ennuis, même si l’attrait de l’argent rapide dans la rue s’avère être un tentation à laquelle il est difficile de résister.

    LA REVUE: L’une des choses magiques à propos du Festival du film de Sundance est que parfois vous pouvez entrer dans un film sans aucune attente, mais ensuite, quelques minutes plus tard, vous réalisez que vous regardez quelque chose de vraiment exceptionnel. Le moment qui m’a attiré est arrivé assez tôt dans CHARM CITY KINGS. Au début du film, nous suivons un garçon nommé Mouse et ses meilleurs copains, Lamont (Donielle T.Hansley Jr.) et Sweartagawd (Kezii Curtis), dans leur quartier à faible revenu de Baltimore, se confrontant à des enfants relativement innocents (parlant à des filles , regardant les préservatifs dans l’épicerie coréenne), avant de se diriger vers une course folle de motocross. Là, ils voient la Midnight Clique se lancer dans une course folle avec les flics avec leur équipage de motocyclettes dirigé par le plus cool que cool Blax. Apparemment, la culture du motocross est une réalité à Baltimore, inspirée d’un documentaire intitulé 12 O’CLOCK BOYS.

    Cette course folle qui fait monter l’adrénaline est le moment qui m’a fait m’asseoir et me faire remarquer en grand. Sur la base de cette seule scène, qui présente des cascades à vélo et un travail de caméra insensés, Universal devrait donner au réalisateur Angel Manuel Soto un film FAST & FURIOUS à réaliser, car le niveau de réalisation de films d’action ici est hors de contrôle incroyable. Pourtant, CHARM CITY KINGS est plus qu’un film d’action urbain. C’est l’un des meilleurs films sur le passage à l’âge adulte de mémoire récente, comparable à STAND BY ME ou AMERICAN GRAFFITI, même si ces films n’ont jamais eu un avantage, car ces enfants grandissent dans les rues moyennes de Baltimore est une vie ou une mort proposition. Nous suivons les trois au cours de l’été probablement le plus important de leur vie, car c’est le moment décisif qui va décider dans quelle direction leur vie va, et c’est un drame passionnant.

    Jahi Di’Allo Winston mérite de devenir une star majeure grâce à son rôle ici. Son personnage, Mouse, est l’un des personnages adolescents les mieux dessinés que j’ai jamais vu. Vous comprenez profondément sa tourmente, avec lui un enfant sans père dont le grand frère bien-aimé était un membre célèbre de la Midnight Clique, mais est mort en courant pour eux, avec Blax de Meek Mill, fraîchement sorti de prison, quelque peu responsable. Mais, il aime toujours Blax, et il est facile de comprendre pourquoi, avec, comme le dit l’un des enfants, Blax essayant de «M. Miyagi »lui.

    Blax aurait pu être décrit de manière stéréotypée, mais au lieu de cela, il est un héros complètement tridimensionnel. Ayant juste été en prison, il n’a aucun désir de retourner au crime et est déterminé à empêcher Mouse de faire les mêmes erreurs que lui et son frère ont faites, même s’il ne s’en rend pas compte autant qu’il essaie de le garder. le droit et étroit, il se transforme par inadvertance en encore plus une légende pour que Mouse veuille être comme, et le crime a joué un grand rôle dans son histoire. Meek Mill est exceptionnel, avec son calme calme qui en fait un modèle évident pour Mouse, et c’est une partie à élimination directe. Il est à peu près aussi éloigné du gangsta typique que vous pouvez l’être. Bien que dur, il essaie d’éviter la violence du mieux qu’il peut, et n’a pas peur de montrer son côté sensible, avec lui des liens avec Mouse pour leur amour partagé des chiens, avec Mouse, une infirmière prometteuse dans un hôpital pour animaux.

    En revanche, Mouse reçoit également une autre figure paternelle de facto, un flic nommé Rivers qui veut encourager les aspirations de Mouse à devenir vétérinaire, même s’il n’est pas assez cool pour être comparé au motocross de Blax. À travers tout cela, Mouse reste notre objectif, mais l’ensemble du casting est exceptionnel, avec Teyonah Parris fascinant en tant que maman de Mouse, Chandler DuPont doux comme la fille timide d’à côté, Nicki, tandis que Donielle T. Ansley Jr et Kezii Curtis rendent l’équipe de Mouse si sympathique vous serez dévasté dans l’acte final lorsque les dures vérités de grandir dans la rue feront partie de l’intrigue.

    Dans l’ensemble, c’est un travail extraordinaire. Sundance est long sur les drames indépendants, mais celui-ci est un vrai «film», en ce sens que lorsque Sony Classics le publie au printemps, il a une très bonne chance de se connecter avec un large public de manière importante (MISE À JOUR – grâce à COVID- 19 il a été vendu à HBO MAX et est actuellement disponible). C’est bourré d’action avec des thèmes universels auxquels nous pouvons tous nous rapporter, même si notre arrivée à l’âge adulte était très différente. Il est produit par Will Smith et Jada Pinkett Smith, alors j’espère qu’ils utiliseront leur pouvoir de star pour donner à ce lancement qu’il mérite. Même si vous pensez que ce n’est pas pour vous, allez quand même le voir. C’est plus pour vous que vous ne le pensez. Pour être succinct, ce film donne un coup de pied sérieux.

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